Ça CEst Passé Simplement 3
Jeudi 9 mai 1985
Le lundi matin, le rituel avait repris ses droits, avec peut-être un petit sourire de Mireille, mais jai de limagination. Et le soir avant de partir je prenais note du planning de Mireille des fois que nos routes au cours de la semaine se croiseraient. Seule une journée montrait que le jeudi jarriverais le soir à Guéret, pour en repartir le matin direction Aubusson. Par contre Mireille serait elle aussi au secteur de Guéret, mais arrivant le matin vers 10,00 heures. En effet venant de Limoges, elle ne couchait pas sur place, pouvant faire laller et retour dans la journée.
Ainsi le jeudi, comme tous les soirs de mes tournées, je dinais dans mon coin en face dun livre. Je venais à peine de commencer quand : « Bonsoir, tu minvites à diner » Mireille venait darriver.
« Oui, bien sur assieds-toi,
mais tu as changé ton planning »
« Exact, tout le monde sait quun planning cest fait pour évoluer »
« Tas des problèmes importants au secteur, car dhabitude tu fais laller et retour dans la journée »
« Non, tout va bien, je suis ici incognito,
autrement dit, jai quitté le bureau en fin de journée comme dhabitude. Par contre, chez moi, jai dit quil fallait que je sois de bonne heure demain au secteur, il faudra donc que tu ais la gentillesse de mhéberger »
« Naturellement pas de problèmes, prends un buffet, ici, il est bon et copieux »
Jétais soufflé. Puis continuant notre conversation elle me dit :
« Je voulais te voir, et pour te faire plaisir, je suis habillée comme tu aimes,
imagines »
Elle était vêtue dun corsage, qui la moulait bien, (devait être au moins une ou deux tailles en dessous) et dune jupe droite, serrée.
Le maître dhôtel parti, elle défit un bouton de son corsage, ce qui augmenta son décolleté en laissant apparaître le début du sillon de ses seins. Puis se levant pour aller se servir, elle se pencha tellement en avant que jeu une vue rapide sur lintérieur de son décolleté.
La vue de son joli cul se déplaçant vers le buffet nétait pas désagréable, cest là que jai imaginé quelle navait rien en dessous. Ce qui enclencha certaines idées érotiques, que je refoulais énergiquement. Vu ce quelle avait fait jusquà présent, elle devait sattendre à ce que je lui dise, maintenant quelle avait un joli cul. Je men abstins, peut-être, inconsciemment par calcul.
Enfin de repas elle alla chercher un dessert et la voyant, de nouveau, se déplacer vers le buffet, je me fis la réflexion quelle avait vraiment un joli cul. Je changeais de tactique. Alors quelle sasseyait, je lui dis :
« Tas vraiment un joli cul »
« Ah, vraiment, il te plait tant ? Ten as envie ? »
« Oui, aux deux questions »
« Tu lauras si tu me fais bien lamour, que tu me fasses bien jouir, comme la dernière fois. Dabord as-tu envie de moi ? »
« Quelle question, cest une évidence »
« Alors dis-le, dis moi que tu as envie de moi, dis moi ce que tu veux faire, ce que tu veux me faire, déjà de lentendre cest le début du plaisir », et elle me posa tendrement sa main sur la mienne
Moi : « Tu sais très bien que jai envie de toi. Tu veux que je te dise ce que jai envie de te faire. Ne te fâches pas la première chose, très terre à terre mais essentiellement pratique, tu dois avoir une valise et nétant pas inscrite, tu peux difficilement te promener avec ta valise et te diriger vers une chambre, on pourrait te poser des questions, donc, je vais aller la chercher, moi je peux. Tu vas maccompagner à ta voiture et on va vérifier quelle est dans un endroit tranquille »
« Elle est à coté de la tienne, jai fait comme toi, je ne veux pas être accroché »
« Bien, en attendant que je revienne davoir déposer ta valise, tu tinstalleras à larrière de ma voiture tu ouvriras ton corsage et tu laissera libre tes seins »
« Dehors, comme ça,
pourquoi pas ? et puis »
« Dans la voiture, tu remonteras ta jupe, écarteras les jambes pour dégager ton minou »
« OOHHH, tu crois ? », mais, sans sen rendre compte, elle avait déjà le souffle court.
« Tu mas demandé ce que je voulais quon fasse. Ça nous rappellera nos flirts des dix huit ans Mais en as-tu envie ? »
« Tu ne peux pas me demander ça »
« Mais si, et déjà ça texcite de timaginer ainsi. Et si je suis trop long, tu pourras te caresser un peu». Elle avait légèrement crispé sa main sur la mienne.
« Tu veux vraiment que,
»
« Bien sur, tu aimes ça, tu es sensuelle et je suis persuadé que tu aimes le sexe et tout ce qui laccompagne et tu te le caches »
« Tu nen sais rien »
« Il te faut juste une petite poussée, pour que tu veuilles ladmettre et à cette pensée, tes yeux brillent et tes seins vont percer ton corsage, alors,
»
« Mais pourquoi je técoute,
Personne ne ta jamais dit que tu étais un salopard ? »
« Viens, on sen va, je vais moccuper de ta valise et ensuite je moccuperais de tes appâts »
Et nous partîmes vers le parking. Effectivement sa voiture était à coté de la mienne, dans le fond sombre du parking. Arrivé sur place, elle se laissa pousser contre la voiture et layant enlacé, je collais mes lèves contre les siennes, il y eut un dixième de seconde dhésitation, mais ses lèvres sentrouvrirent et nos langues se trouvèrent et senlacèrent, alors que nos corps se collaient, létreinte fut rapide et violente.
Elle ouvrit son coffre et se penchant pour prendre sa valise son joli cul fut à lhonneur, je me retins de lui caresser les fesses, ce geste ayant pu être considéré comme grivois à la limite de la grossièreté.
Prenant la valise, je lui dis : « Dans moins de cinq minutes je suis de retour »
Je revenais quelques minutes après ayant pris mon temps, de façon à lui laisser le temps de se convaincre que lenvie douvrir son corsage et de remonter sa jupe fut plus forte que son propre quen dira soit.
A mon arrivée, elle nétait pas dans la voiture, par contre, elle sétait installée entre les deux voitures, et malgré le peu de clarté, je vis que ses seins étaient libres de corsage et que sa jupe était remontée, lui formant une ceinture.
« Tes content de toi, jai fait ce que tu voulais, serres moi dans tes bras, serres moi fort, très fort,
Tu me rends folle,
pourquoi je me laisse à técouter,
jai envie de toi,
viens prends moi
oui, prends moi »
Cest ce que je fis. Je lenserrais de mon bras droit et me penchais pour lembrasser dans le cou, ce qui, en général, générait dagréables frissons et je plongeais sur ses seins, qui étaient gonflés et souples durs, certainement du la fraicheur, mais, et jen étais persuadé par lexcitation. Pendant ce temps, ma main droite descendait vers son entrejambe, dont laccessibilité était facilitée par des jambes qui sécartèrent largement à mon arrivée. Je posais ma paume sur sa chatte chaude, gonflée et humide. A peine arrivée, la main de Mireille se posa sur la mienne et suivait les caresses que je pratiquais à son intimité.
« Rentres,
rentres vite,
sil te plait,
»
Deux doigts trouvèrent sans difficulté lentrée de sa moule, guidés ou suivis par la main de Mireille, qui avait le souffle de plus en plus court.
Elle était bien chaude, et était prête à se faire sauter sur place, mais je me retirais.
« Reste,
jai envie de toi,
restes,
prends moi,
»
Et je lui disais on sera plus confortable dans ma chambre que sur le capot de la voiture.
« Tu es vraiment un salaud, me faire ça,
tu me rends folle,
je te veux,
»
« Viens, on va dans la chambre on sera plus confortable »
« Pourquoi pas ici, jen ai envie ? Tu mas fait rêver et tu fuis »
Je ne répondis pas et rapidement nous avons rejoint la chambre, Mireille fut nue rapidement, quant à moi, même en me dépêchant, il me fallut un certain temps, que Mi
reille mit à profit pour se coucher, le compas de ses jambes largement ouvert et la main droite sur se chatte en train de se caresser « Tu vois ce que tu perds, comme tu las dit, jaime à me caresser et encore plus excitant devant toi, je suis sur que ça te fais bander et si tu tardes trop jaurais joui,
regardes,
, tu aimes,
, ma chatte tattend,
»
Je mempressais de me coucher à coté delle et reprenais ma discussion avec ses seins, ce qui lui fit abandonner sa moule, pour me les proposer à sucer, lécher,
puis jabandonnais la partie haute pour descendre sur son ventre et vers son intimité.
Puis elle abandonna cette position pour venir sempaler sur ma trique, qui était dure et gonflée au possible. Elle me prit et me guidant en elle se laissa descendre sans difficulté tellement elle était trempée : « Tu vois,
, je me fais lamour,
, jaime cette position,
, restes dur que je me fasse jouir,
, OOOHHHH, je te sens bien,
, OUUUIII,
»
Elle montait, descendait lentement puis en accélérant,
jétais son sextoy, elle se masturbait avec ma tige, elle dansait autour de mon pieu, se donnant du plaisir et men donnant. Par moment elle écartait les bras, puis mettant ses mains sur ses hanches elle dansait du bassin, ce qui était incroyablement excitant, puis elle partait en arrière. « OUUIIIII,
, cest bon,
, jaime que tu me baises comme ça,
, jaime me faire jouir,
, retiens toi,
, » et je subissais son et mon plaisir. Quand, ne pouvant plus me retenir, je me cambrais et me vidais dune seule et importante giclée, elle sembla sarrêter et tout à coup, elle eu un spasme assez conséquent, partit en arrière puis revenant retomba sur moi, haletante, le souffle court. Reprenant son souffle elle dit :
« Oh, que cétait bon, jai aimé,
» Puis se collant contre moi : « Je suis heureuse, je vais pouvoir rester avec toi, dormir avec toi, depuis le temps que jen avais envie » et elle membrassa, un gentil petit baiser. Peut-être une dizaine de minutes après elle dormait. Je mis du temps à mendormir, la sentant contre moi, il marrivait des idées,
deux ou trois fois, je maventurais à la caresser, mais sans résultat probant, je finissais par mendormir. Mon sommeil ne fut pas très réparateur, car encombré de rêves érotiques, qui, naturellement se terminaient pas ou mal.
Vers le petit matin, le jour était en train de se lever, quand je fus réveillé par un bruit deau. Mon premier réflexe fut de regarder le réveil ayant craint de ne pas lavoir entendu et dêtre à la bourre. En fait Il était à peine six heures. Je réalisais que Mireille devait être sous la douche et effectivement quelques instants plus tard, elle sortait de la douche enveloppée dans un drap de bains. « Jespère que je ne tai pas réveillé ? »
« Non, il était temps que je me remue, mais tu pouvais rester dormir »
« Tu devrais savoir que les femmes naiment être vue au saut du lit, et je suis dans ce cas »
Je lattirais par le drap de bains qui souvrit et naturellement elle apparut nue, ce qui enclencha une réaction dans mon anatomie. Je lattirais un peu plus. Moi assis sur le lit, elle debout, elle avait la chatte à hauteur de bouche, ce que je fis, je plongeais entre ses cuisses, quelle ouvrit légèrement et avança le bassin pour me faciliter laccès à ses grosses lèvres.
« SI tu continues, je sens que je vais avoir une envie folle que tu me fasses lamour »
Je dois reconnaître que je nétais pas encore au mieux de ma forme, ça venait, mais, il me fallait encore un petit effort. Elle se laissa tomber sur le lit et se tournant nous étions tête bêche, autrement dit en position 69. Son minou était à portée de langue et je memployais à moccuper au mieux de ce qui métait offert, et je sentais que des doigts, une langue et des lèvres sactivaient sérieusement à redresser la situation, de façon à ce que « popol » soit plus à même dhonorer une jeune et jolie femelle. Les choses évoluèrent rapidement, car Mireille enclencha la sono en émettant des grognements de satisfaction quant à mes prestations et ayant la langue sérieusement occupée et souvent la bouche pleine elle ne pouvait guère être plus explicite. Enfin elle se retourna et se mettant sur le dos : « Viens, viens vite prends moi,
je te veux dans moi,
»
Je roulais entre ses jambes déjà bien ouvertes. Elle sempara de ma tige, qui après le traitement quelle lui avait fait subir avait retrouvé une forme et une dureté digne de son propriétaire. A peine sur elle, elle sempara de mon outil et le guida vers son fourreau, qui, bien préparé était ouvert, chaud et humide à souhait. Après mêtre enfoncé complètement en elle, ponctuée par un OOOHHH OUIII. Les va et vient commencèrent, jétais déchainé, je voulais la faire jouir, je voulais la posséder entièrement, complètement, et la sono se mit en marche. Ce qui était agréable avec elle, cest quà partir de linstant où elle se faisait baiser, et quelle appréciait, elle accompagnait lacte de réaction vocale indiquant son plaisir et lintensité de son plaisir.
« OUiii,
prends moi,
, comme ça,
, je veux te sentir me remplir,
, tu me rends folle,
, ouIIII baises moi fort,
, dis moi que taimes me baiser,
, OOOOHHHH, OUIIIIII,
, dis moi que tu bandes de me savoir nue pour toi,
, causes un peu,
, OOOOHHH OOUUIIIII, cest bon,
. »
Et comme dhabitude elle partit dun seul coup avec un orgasme aussi brutal quinattendu, et comme je narrivais plus à me retenir, je lâchais tout et me vidais dans sa grotte damour.
Elle mit quelques minutes à revenir sur terre et se penchant sur moi elle dit : « Cétait bon, tu me rends folle, jaime quand tu me fais lamour,
quand tu me baises,
pourquoi tas pas voulu hier soir, jaurais aimé, comme vous dites les bonshommes, me faire sauter sur la voiture »
Je ne pouvais pas lui dire que la sauter dans un parking, cela faisait un peu la fille qui attend le client, mais comme elle insistait je lui proposais : « Si tu veux la prochaine fois on fera comme tu voudras. Peux tu recommencer le même scenario que cette fois »
« Non, je ne pense pas, même pour ta proposition »
« Bon je vais voir comment morganiser, profites de la chambre tu peux encore te reposer tu ne commences quà dix heures »
On sembrassa tendrement et si je navais pas eu des rendez-vous, je pense quelle aurait bien remis le couvert.
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